MON BAPTEME DE L’AIR ET MES PREMIERS JOURS DANS LA COMMUNAUTE D’ESPAGNE
On dit que partir c’est mourir un peu. Peut être c’est ce qui explique les jolis mots, les pleurs et les câlins à ne vouloir s’arrêter des gens qui nous ont accompagné comme de tous ceux qui venaient nous dire au-revoir. La séparation fut remplie d’émotion et de nostalgie mais bon il fallait bien qu’on s’en aille pour de nouvelles missions et vers des nouvelles terres. C’est donc ainsi qu’après